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L’industrialisation de la recherche de l’or
Au risque de vous décevoir, il ne s’agit pas de parler de séduction, mais d’industrialisation de la recherche de l’or. Celle-ci est intervenue après la fin de la ruée quand les prospecteurs indépendants ont eu épuisé la plupart de l’or “facile” à trouver (on a vu précédemment que “facile” reste relatif).
Ainsi, M. Joseph Whiteside Boyle a eu l’idée d’importer un design provenant de Nouvelle-Zélande. Une drague, destinée à creuser le sol et à le tamiser afin d’en extraire les matériaux lourds.
On voit un schéma ci-dessous. Un bras avec des godets creuse le sol (à droite en blanc).
Après tamisage, les déchets sont rejetés à l’arrière.
Comble de l’efficacité, il fallait seulement 4 personnes pour faire fonctionner cette machine gigantesque. Toutefois, près de 200 personnes préparaient le terrain en le défrichant et éliminant tout ce qui pouvait bloquer son fonctionnement.
Voici quelques vues, compter les fenêtres sur les vues extérieures. On voit qu’on a l’équivalent d’un bel immeuble …
Le bras qui portaient les godets pour creuser
Sylvain dans un godet pour montrer la taille. Chacun pèse 2,5 tonnes
L’arrière de la machine. Évacuation des déchets.
Le convoyeur d’évacuation depuis l’intérieur
L’intérieur depuis la salle de commande
Le bras qui porte les godets vu depuis la salle de commande
Il y a eu 24 dragues opérant dans la région, celle présentée ici est la numéro 4.
Il n’y en a plus de cette taille qui travaille actuellement. Aujourd’hui, on voit plutôt des bulldozers et des pelles mécaniques.
Pour ceux qui veulent plus de détails, n’hésitez pas à nous contacter !
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Eric
