Tous les propriétaires de chat le savent, un chat résiste rarement à la tentation de chasser à l’extérieur.
Chasseurs et écologistes sont d’accord, le chat est un vrai danger pour la faune sauvage. Vraiment ? Ne serait-il pas plutôt un bouc émissaire commode ? N’y a-t-il pas d’autres facteurs à prendre en compte ?
Si on ne peut pas nier la prédation du chat, quelques calculs de base permettent d’éclairer cette affirmation si souvent matraquée.
Voici au lien suivant un article qui donne à réfléchir sur l’impact réel du chat à part quelques cas particuliers d’introduction dans des îles: cliquez ici
Comme souvent, en écologie (la science, pas l’idéologie), la vérité n’est pas simple et il faut se garder des vérités trop vite énoncées.
Bonne lecture.